Il y a environ un an une bonne amie m'a offert ce livre en cadeau, après s'être démenée pour me le trouver au fin fond d'un librairie new-yorkaise (eh oui !). Même si l'histoire m'attirait beaucoup je trouvais toujours une autre lecture à faire passer avant. Et puis je l'ai lu.
Et ce n'était pas du tout ce que je croyais. En lisant le résumé on a l'impression que cet "American gun" est exposé en vitrine puis volé devant tout le monde. En fait oui et non. Il y a un meurtre commis devant des milliers de spectateurs et le pistolet n'est qu'un accessoire.
Il semblerait que dans les années 50 les cow boys ne parlaient pas un langage très oxfordien :
"Shorty, you close yore trap an' pay attention! The rest o' you-stand up ! There's one too many among ya, an' I'm on the warpath till I find the dirty murderer!"
Et les romans d'
Ellery Queen ont la particularité qu'il y a une espèce d'entracte ou l'auteur s'adresse au lecteur en lui disant, grosso modo, vous avez tous les éléments en mains vous devriez avoir découvert le meurtrier comme mon détective. Bon ben moi j'avais pas trouvé.
Depuis j'ai lu deux autres romans :
le bal du dodo de Geneviève Dormann et
Unusual uses for olive oil de Alexander McCall Smith.
Bonne lecture à vous, see ya.